L'Écho-de-l'Armor-et-de-l'Argoat est un hebdomadaire qui se veut le porte-voix et la vitrine du Pays de Guingamp, dont se trouve aussi le siège, il couvre les Cantons principaux de Guingamp, Begard, Belle-Isle-en-terre, Bourbriac, Pontrieux, Plouagat, Plouha, Châtelaudren, Callac, Maël-Carhaix, Rostrenen, Saint-Nicolas du Pelem et même au-delà.
L’Hebdomadaire fut fondé en 1851 par Benjamin Jollivet, un écrivain-éditeur-imprimeur, qui l’a baptisé La Presse Bretonne. Le journal a ensuite changé 6 fois de titre, pour prendre en 1964 grâce à son gérant à ce moment-là, Michel Anger le titre que nous connaissons aujourd’hui. Le journal intègre en 1995 le groupe Publihebdos, filiale du groupe Ouest-France.
Avis-de-deces.com travaille en collaboration de l’Echo de l’Armor et de l’Argoat en termes de publication d’avis nécrologiques. Depuis chez soi, plus besoin de se déplacer, une connexion internet sur un ordinateur, une tablette ou un téléphone, vous pouvez commander un avis et le voir paraître à la date demandée. Publier un avis de décès l’Echo de l’Armor et de l’Argoat beaucoup plus simplement avec une assistance en ligne qui permet
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Chaque mercredi, le journal régale ses 40 496 lecteurs par des informations portées plus sur le terroir, la culture, les loisirs et le sport, avec un tirage de 12 541 exemplaires, et devient un journal incontournable des habitants locaux et même des touristes ou personnes de passage. L’hebdomadaire local français de Bretagne est installé à Guingamp dans les Côtes d’Armor. Le périodique est présenté sous le format tabloïd.
L’Echo de l’Armor et de l’Argoat, surnommé L’Echo, traite les informations et actualités locales relatives à la vie économique, politique, culturelle, associative et sportive. Anciennement appelé La Presse Bretonne, le titre fait partie des œuvres de Benjamin Jollivet qui a à son actif entre autres quatre volumes d’un important ouvrage consacré aux Côtes-du-Nord. L’année 1932 est marquée par la création du premier hebdomadaire d’arrondissement dans le département intitulé « Affiches, Annonces et Avis divers de Guingamp et Lannion ».
Sept ans plus tard, le périodique devient « Le conteur bas-breton », puis « Le prix courant des marchés de Bretagne » en 1842 et un an plus tard « Le caboteur » puis « La presse Bretonne » en 1851. M. Rouquette reprend ce dernier et le renomme « Le Journal de Guingamp » en 1885. Louis-Alfred-Anger, fondateur du Journal de Lannion, se marie avec la fille de M. Rouquette et s’occupe du journal trois ans plus tard. Le Journal de Lannion se fusionne avec Lannion Républicain, propriété de M. Mauger et donne Le Trégor.
Historique de diffusion
Période | Tirage print | Diffusion Totale Payée | Diffusion Totale | |
Source ACPM / OJD |
DSH 2021 |
9 618 |
7 920 |
8 108 |
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PV 2020 |
10 997 |
8 869 |
8 951 |
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PV 2019 |
10 917 |
9 178 |
9 266 |
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PV 2018 |
11 211 |
9 101 |
9 189 |
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PV 2017 |
11 393 |
9 160 |
9 329 |
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PV 2016 |
11 425 |
9 442 |
9 830 |
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PV 2015 |
11 519 |
9 400 |
9 783 |
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PV 2014 |
12 440 |
9 985 |
10 118 |