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Enterrement : Jean GOURMELIN

Enterrement : Jean GOURMELIN 23 novembre 1920 - 9 octobre 2011
01/10/2015

Mort du dessinateur de Presse français

Jean GOURMELIN s’est éteint à 90 ans, le 9 octobre 2011 à Meudon. Il nait le 23 novembre 1920 à Paris. À l'âge de 17 ans, il s'inscrivit à l'École Supérieure des Arts Décoratifs ainsi qu'à de grandes académies de dessin telles celle de la Grande Chaumière, où il suivit notamment les cours d'Othon FRIESZ et de Brianchon, et apprit à dessiner d'après les nus. Il exécuta ensuite des papiers-peints pour la Maison Nobilis où il collabora à une "restauration" de la toile de Jouy, ce qui lui valut déjà une certaine notoriété. De 1951 à 1969, il collabore avec le maître verrier Max INGRAND, pour le compte duquel il réalise de très nombreux vitraux.

Il était très fatigué et quasiment aveugle

La Nouvelle République annonce son décès en publiant l’article « Dessinateur de presse Jean GOURMELIN est décédé ». Il y est rapporté que « Très fatigué et quasiment aveugle, Jean GOURMELIN qui se battait depuis de longues années contre une maladie dégénérative de la vue, est décédé dimanche à l'hôpital de Meudon où il faisait des séjours réguliers ». Par ailleurs, l’article souligne qu’« Une disparition qui a attristé particulièrement les anciens Vendômois et les membres de l'Association de la sauvegarde de la vallée de Saint-Ouen qui, du 14 au 25 septembre, proposait une évocation de son œuvre à travers de multiples dessins proposés à la chapelle Saint-Jacques ».

Il s'éteint à l'âge de 90 ans

Pour sa part, Le Cité BD fait part de son décès via l’article intitulé « décès de jean GOURMELIN ». Il y est rappelé que « Né en 1920 dans une famille d’origine bretonne, Jean GOURMELIN a très tôt manifesté un goût profond pour le dessin. Peintre pendant son adolescence, il gagne d’abord sa vie en dessinant des motifs pour papier peint, puis travaille pour le maître-verrier Max INGRAND, avec lequel il conçoit et réalise des vitraux qui ornent plusieurs églises et cathédrales. Au début des années 1950, il s’oriente vers le dessin d’humour et développe un style graphique qu’on compare souvent à celui de Topor ou Tim ».

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