Genevieve, Bernadette, Odette, PETIT, décédé(e) le 16 janv. 2015 | Barentin, Seine-Maritime sur Avis-de-deces.com | Publication dans Le Réveil de Neufchâtel des avis de deces.

Espérance de vie : Seine-Maritime (76) - 80 ans

L’espérance de vie calculée sur les avis de décès est de 80 ans pour : Seine-Maritime

Quelle est l’étymologie du nom de famille Petit ?

Le nom de famille Petit est un patronyme français d'origine descriptive, signifiant "petit". Il est dérivé du mot français "petit", qui signifie "petit" ou "jeune".

Ce nom était souvent donné à quelqu'un de petite taille, ou comme surnom pour un jeune garçon ou une jeune fille. Il pouvait également être utilisé pour distinguer une personne d'une autre portant le même nom de famille, par exemple "Jean Petit" pour distinguer Jean de son père ou son grand-père qui s'appelaient également Jean.

Le nom Petit est très répandu en France et dans les pays francophones. Il est l'un des noms de famille les plus courants en France, avec plus de 100 000 personnes portant ce nom.

Que s’est-il passé le 15 avril 1915:

Le 15 avril 1915, le monde était en pleine Première Guerre mondiale. Sur le front occidental, les armées française, britannique et allemande étaient figées dans une guerre de tranchées épuisante, caractérisée par des bombardements incessants et des escarmouches locales. La France voyait ses troupes défendre le territoire avec acharnement. À l'échelle mondiale, les préparatifs s'accéléraient pour des offensives majeures imminentes. C'était notamment le cas pour les débarquements alliés à Gallipoli et la seconde bataille d'Ypres, où l'emploi à grande échelle des gaz toxiques allait bientôt marquer un tournant. Cette journée s'inscrivait dans une période de tension extrême, de développement d'armements mortels et de pertes humaines considérables.

Sur le front occidental, les combats se poursuivaient, caractérisés par une intense guerre de tranchées et des duels d'artillerie, notamment dans les secteurs tenus par l'armée française.

Les préparatifs étaient en cours pour la Seconde bataille d'Ypres en Belgique, où l'Allemagne allait bientôt utiliser pour la première fois à grande échelle les gaz toxiques (début le 22 avril).

Dans les Dardanelles, les forces alliées finalisaient les plans et les préparatifs logistiques pour les débarquements amphibies massifs sur la péninsule de Gallipoli, prévus pour la fin du mois.

La guerre sous-marine allemande restait active, les U-Boats ciblant les navires de commerce alliés dans l'Atlantique et la Manche, contribuant à la guerre économique.

En France, l'arrière continuait de s'adapter à l'économie de guerre, avec une mobilisation constante des ressources humaines et industrielles pour soutenir l'effort de guerre.